Music for String Trio (2006) While no Lyric Suite, this is my most ambitious composition to date, combining multiple musical cultures dating over the past 1,000 years. The first movement owes something to the world of Janacek, and is even based upon a Czech folk tune (which one hears partially disguised at one point). The second (no jokes about “La Quesadilla,” please), is based upon music I have heard played by South Mexican street bands. A simple melody becomes more fragmented until it distorts into this nightmarish scherzo. Talencourt starts with direct transcription of a Quebecois folk melody as originally played in the 1920s by “Villeneuve and Bouchard” a violin and accordion duo – later released on the 1985 album, You Can Tell the World About This (Morning Star Records). It is then given short variation treatment in the styles of Bartók, Stravinsky, Prokofiev, and Rachmaninov, in that order. The rest of the work is a mirror-image of itself right back to the very beginning. The fourth movement only lasts around a minute, and is a setting of the medieval melody (anonymously written) of the same name. Mache Dich Mein Geist Bereit is a setting of a chorale melody, in quickly contrasting alternating sections of a March and a “Pseudo-Adagio” (which is at the same speed as the march, but the notes are obviously held much longer). Mahler probably would have hated this piece, but I don’t care, I will always love Mahler’s music. Shir Ha-Shirim is a toccata-like distortion of a medieval Jewish setting of a text from the Song of Songs, III / 1, “By night on my bed I sought him whom my soul loved; I sought him, but I found him not.” The Song of Songs is a love-song from God to Israel and vice-versa and it is read at Passover. After a short reprise of Hore Cerny the melody returns to the toccata, thereafter quietly dispersing.
MUSIC FOR STRING TRIO (2006) Même si ce n’est pas la « Suite Lyrique » c’est ma composition la plus ambitieuse jusqu’à maintenant, qui est une combinaison des cultures musicales depuis le dernière millénaire. Le premier mouvement montre l’influence de Janácek, et le fondement est une mélodie folklorique Czech (que l’on peut écouter jusqu’à la fin). Le deuxième mouvement (et ne plaisantez pas au sujet de « la quesadilla » s’il vous plaît), est basé sur la musique que l’on trouve au sud du Mexique qui est joué par les petits orchestra de la rue. Une mélodie très simple devient plus fragmentée jusqu’au point que c’est une distorsion du cauchemar de scherzo. Talencourt commence avec une traduction d’une mélodie folklorique québécoise comme il est joué dans les années vingt par Villeneuve et Bouchard, un duo d’accordéon et violon, et présente sur l’album de 1985, « You Can Tell The World About This » (Morning Star Records). Après, la mélodie reçoit le traitement des variations à la manière de Bartók, Stravinsky, Prokofiev & Rachmaninov, dans cet ordre. Le reste de l’œuvre est une image-mirroir qui retourne vers au commencement. Le quatrième mouvement ne dure qu’une minute, et c’est une adaptation d’une mélodie anonyme du moyen âge, et du même tître. Mache Dich Mein Geist Bereit est l’arrangement d’une mélodie chorale qui utilise des sections qui s’alternent et je les appelle la « Marche » et l’autre « Pseudo-Adagio » (la dernière est à la même vitesse que la première, mais les notes sont plus étirées, évidemment). Mahler aurait détesté cette œuvre, mais ce n’est pas important; j’aimerai toujours sa musique. Shir Ha-Shirim est une toccate, et une distorsion d’une mélodie juive du moyen-âge, qui est de « le cantique des cantiques » III/1. « Durant toute la nuit j’ai cherché ce que mon âme désirait; je l’ai cherché, mais je ne lui ai pas trouvé. » Le cantique des cantiques est une chanson d’amour de Dieux vers Israël, et vis-et-versa, et on les lit à Pesach. Après une petite reprise d’Hore Cerny, la mélodie juive retourne au toccate, et la disparaît après.