In June of 2017, I visited the Winnipeg Art Gallery and saw several paintings by English-Canadian painter Arthur Lismer for my first time. A painting of the Isle of Pic, near the northern shore of Lake Superior, caught my eye because of vivid and imaginative colours. I was inspired to write a composition to mirror these beautiful images. A few highlights of the paintings which I tried to incorporate in the music were impressive vistas (represented in my composition in measure 20) and vantage points (measure 69), windswept pine (measure 69), steep cliffs (measure 28), and soaring peaks (measure 46). The description at the Winnipeg art gallery says: “Lismer marshals the region’s undulating topography and shifting colour into a perceptual maze, leading the viewer on a tour of the landscape’s broad natural rhythms.” I evoked the idea of a “perceptual maze” with swirling sixteenth notes and overlapping harmonies. Although the piece starts with a representation of crashing waves and quickly builds to a dramatic climax, it eventually calms down to a peaceful sound-word where harmonies that were heard in the opening are restated in a very different context.

En juin 2017, j’ai visité la Winnipeg Art Gallery et j’ai vu plusieurs peintures du peintre canadien-anglais Arthur Lismer pour la première fois. Une peinture de l’île de Pic, près de la rive nord du lac Supérieur, a attiré mon attention en raison de ses couleurs vives et imaginatives. J’ai été inspiré pour écrire une composition pour refléter ces belles images. Quelques faits saillants des peintures que j’ai essayé d’incorporer dans la musique étaient des panoramas impressionnants (représentés dans ma composition en mesure 20) et des points de vue (mesure 69), des pins balayés par le vent (mesure 69), des falaises abruptes (mesure 28) et des pics (mesure 46). La description de la galerie d’art de Winnipeg dit : « Lismer rassemble la topographie ondulante de la région et les couleurs changeantes dans un labyrinthe perceptif, entraînant le spectateur dans une visite des larges rythmes naturels du paysage. J’ai évoqué l’idée d’un “labyrinthe perceptif” avec des doubles croches tourbillonnantes et des harmonies qui se chevauchent. Bien que la pièce commence par une représentation de vagues déferlantes et atteigne rapidement un point culminant dramatique, elle finit par se calmer en un mot sonore paisible où les harmonies entendues au début sont réaffirmées dans un contexte très différent.