“Alba” (2019) – Jocelyn Morlock (1969-2023)

Alba was written for meagan&amy, for their 2019 Canadian tour, as a companion piece to the Mozart violin and piano sonatas.

While writing it, during the longest days of summer, I found all my musical ideas had a strong association with dawn. Alba is a very sunny piece, which begins quite gently but becomes increasingly heated and energetic over its brief duration.

Verbivores (logophiles? the wordily-inclined?) will also note that the name Alba sounds suspiciously, and intentionally, reminiscent of “Alberti bass. »

In writing a companion piece for Mozart, I used the building blocks of his music – a judicious amount of trills, ornaments, triadic harmony, and especially the Alberti bass – to develop my own work. Small, regular ripples of melody that are initially created using these figures become faster, more irregular, and even distorted by wide leaps and bounds, but retain traces of their origins even at their most exuberant.

“Alba” (2019) – Jocelyn Morlock (1969-2023)

Alba a été écrit pour meagan&amy à l’occasion de leur tournée canadienne 2019 pour complémenter un programme de sonates pour violon et piano de Mozart.

J’ai composé la pièce pendant les plus longs jours de l’été et j’ai réalisé que toutes mes idées musicales étaient étroitement liées à l’aube. Alba est une pièce très ensoleillée qui commence assez doucement et devient de plus en plus animée et énergique au cours de sa brève durée.

Les verbivores (logophiles? personnes ayant un intérêt marqué pour les mots?) remarqueront que le nom « Alba » évoque la « basse d’Alberti » de façon subtile mais intentionnelle.

En écrivant une pièce complémentaire pour Mozart, j’ai utilisé les composantes de base de sa musique – trilles et ornements judicieux, accords en triade, et tout particulièrement, la basse d’Alberti – afin de développer ma propre œuvre. Des petites ondulations mélodiques régulières qui sont d’abord créées avec ces éléments accélèrent de façon plus irrégulière, et sont même déformées par sauts et sursauts, mais retiennent des traces de leurs origines, même dans leur plus grande exubérance.