In the world of zero is about the crisis and rebirth which occur when one is about to make a connection, to love. Love happens out of ‘the matrix of ultimate alarm’ and results in a new birh, iut also in the annihilation of the old self. There is a point p- the point of zero- where nothing exists exept the possibility of this new connection. All other connections, assumptions, beliefs, habits, are suspended or disappear. This is a moment of terrifying freedom. The clusters and percussion of the beginning are a kind of inner Big Bang, the volcanic, tumultuous matrix from which love emerges. The work alternates between strorm and elated peace; later, the storm itself becomes ecstatic and acquires its own song.We emerge, new, into the strangeness of a new universe.

The world of zero porte sur la crise et la renaissance qui surviennent au moment où l’on est sur le point d’établir une connexion, d’aimer. L’amour surgit de la ‘matrice de l’ultime alarme’. Il en résulte une nouvelle naissance qui passe par une mort à soi. On arrive un point -le point zéro- où rien n’existe sauf la possibilité de cette nouvelle connexion. Toutes les autres connexions, hypothèses, croyances, habitudes sont suspendue ou disparaissent afin de permettre à cet amour de naître. Cet instant est d’une liberté terrifiante. Les clusters et la percussion du début présentent une espèce de Big Bang intérieur, la matrice volcanique et tumultueuse d’où naît l’amour. La pièce passe tour à tour de la tempête à l’extase de paix; pouis, la tempête elle-même devient chant. Nous accédons renouvelés, à l’étrangeté d’un nouvel univers.