Night
For baritone, SATB chorus, string quartet (or string orchestra)
Night was commissioned in 1973 by the Vancouver Chamber Choir with a grant from the Canada Council receiving its first performance on Jan. 23, 1974 in Vancouver with the Purcell String Quartet and baritone soloist, Donald Brown. Ten years later Night was revised, with the addition to the string quartet of a double bass, significantly darkening the already deep timbre of Weisgarber’s setting. This version was recorded for the Canadian Music Centre’s Centredisc label in 1990 and received high praise, notably these words from Fanfare Magazine’s William Wians in the Nov./Dec. issue: « Taking as his text a darkly profound poem by Robinson Jeffers, Weisgarber has created a somber fabric of baritone, chorus and string quintet (made that much darker by the use of a double bass rather than a second viola). In the course of its thirty minutes it produces a terrifying emotional impact. Of music familiar to Fanfare readers, Night reminds me of Barber’s Dover Beach. But I won’t describe it further. It is stunning. » This edition was produced by the composer’s daughter Karen Suzanne Smithson, December 2021.
Elliot Weisgarber Night, 1973/rev. 1984 Commandée par : Vancouver Chamber Choir, grâce à une subvention du Conseil des Arts du Canada « Durant les trente minutes que dure l’œuvre, la musique produit un impact émotionnel terrifiant. … Night me rappelle Dover Beach du compositeur Barber. […] Elle est étonnante. » William Wians, le magazine Fanfare, novembre/décembre 1990 Texte : Robinson Jeffers « La nouvelle version de Night est dédiée à la mémoire de Blair Griffith, le photographe qui accompagnait l‘expédition canadienne au mont Everest en 1982, et qui est décédé à la chute de glace Khumbu du mont Everest le 2 septembre 1982. Mon épouse et moi-même connaissions Blair depuis près de vingt ans… J’avais commencé à travailler à cette nouvelle version musicale du magnifique poème cosmétique de Jeffers seulement quelques jours avant de recevoir la triste nouvelle de la mort prématurée de Blair. Il m’a semblé alors, et il me semble toujours, que c’était une façon appropriée de rendre hommage à son souvenir, car c’est dans ces contrées de la terre, sauvages et désolées, que l’on ressent le plus l’immensité de l’univers, du temps et de l’espace.”